VW vai lançar o motor GCi (motor a gasolina de compressão) tentando já acompanhar a Mercedes com o seu Diesotto
Dans le cadre de ses recherches pour lutter contre les émissions de CO2, Volkswagen a développé un moteur essence à compression.
Rejoignant Mercedes et son Diesotto sur ce terrain, VW termine la mise au point d'une motorisation mariant les avantages à la fois du Diesel et de l'essence. Cela passe notamment par un processus d'autoallumage homogène par compression dans un bloc fonctionnant à l'essence. Cette technique GCI (Gasoline Compression Ignition), également appelé HCCI (Homogenous Charge Compression Ignition), fonctionne avec le carburant vendu dans le commerce et prend comme base des moteurs essence atmosphériques baptisés FSI par Volkswagen.
Le principe du GCI (allumage essence par compression) est de créer un mélange quasi homogène de carburant, d'air et d'une grande quantité de gaz d'échappement. Il est ensuite comprimé pour être amené à s'autoenflammer de manière contrôlée. Il n'y a donc pas d'étincelle provoquée par une bougie. Toutefois, on n'entre pas ici dans un phénomène de cliquetis parce que cette combustion est voulue et contrôlée tant pour le moment d'inflammation que pour sa durée.
Cette solution profite d'un rendement élevé et de basses émissions brutes d'oxyde d'azote. La composition surstoechiométrique du mélange permet de diminuer également les émissions de CO. Pour leur part, les émissions de suie restent en deçà de la limite détectable en raison de l'homogénéité du mélange. Enfin, ce mode de combustion permet d'afficher des valeurs de consommation de carburant inférieures à l'allumage classique, sans traitement complexe des gaz d'échappement.
Ceci dit, le GCI n'est pas sans complexité. Ainsi, ce mode d'allumage ne fonctionnant pas par étincelle, il faut contrôler exactement le point d'autoinflammation, qui dépend du dosage très précis du mélange air-carburant-gaz d'échappement, mais aussi de l'état thermodynamique
de ce mélange. Des éléments très sensibles à la moindre variation. De plus, ce processus ne fonctionne réellement qu'aux plages de charges et de régimes inférieures. Voilà pourquoi un moteur compatible GCI démarre en mode conventionnel. Lorsque la puissance demandée se trouve en charge partielle à vitesses comprises entre 40 et 100 km/h, alors, de manière imperceptible, le GCI prend le relais puisque le moteur se situe dans la plage de travail permettant l'allumage spontané. Enfin, pour obtenir la préparation du mélange fortement dilué nécessaire à l'autoallumage, les ingénieurs VW ont ajouté une commande de soupapes semi-variable au moteur FSI servant de base de recherche.
Rejoignant Mercedes et son Diesotto sur ce terrain, VW termine la mise au point d'une motorisation mariant les avantages à la fois du Diesel et de l'essence. Cela passe notamment par un processus d'autoallumage homogène par compression dans un bloc fonctionnant à l'essence. Cette technique GCI (Gasoline Compression Ignition), également appelé HCCI (Homogenous Charge Compression Ignition), fonctionne avec le carburant vendu dans le commerce et prend comme base des moteurs essence atmosphériques baptisés FSI par Volkswagen.
Le principe du GCI (allumage essence par compression) est de créer un mélange quasi homogène de carburant, d'air et d'une grande quantité de gaz d'échappement. Il est ensuite comprimé pour être amené à s'autoenflammer de manière contrôlée. Il n'y a donc pas d'étincelle provoquée par une bougie. Toutefois, on n'entre pas ici dans un phénomène de cliquetis parce que cette combustion est voulue et contrôlée tant pour le moment d'inflammation que pour sa durée.
Cette solution profite d'un rendement élevé et de basses émissions brutes d'oxyde d'azote. La composition surstoechiométrique du mélange permet de diminuer également les émissions de CO. Pour leur part, les émissions de suie restent en deçà de la limite détectable en raison de l'homogénéité du mélange. Enfin, ce mode de combustion permet d'afficher des valeurs de consommation de carburant inférieures à l'allumage classique, sans traitement complexe des gaz d'échappement.
Ceci dit, le GCI n'est pas sans complexité. Ainsi, ce mode d'allumage ne fonctionnant pas par étincelle, il faut contrôler exactement le point d'autoinflammation, qui dépend du dosage très précis du mélange air-carburant-gaz d'échappement, mais aussi de l'état thermodynamique
de ce mélange. Des éléments très sensibles à la moindre variation. De plus, ce processus ne fonctionne réellement qu'aux plages de charges et de régimes inférieures. Voilà pourquoi un moteur compatible GCI démarre en mode conventionnel. Lorsque la puissance demandée se trouve en charge partielle à vitesses comprises entre 40 et 100 km/h, alors, de manière imperceptible, le GCI prend le relais puisque le moteur se situe dans la plage de travail permettant l'allumage spontané. Enfin, pour obtenir la préparation du mélange fortement dilué nécessaire à l'autoallumage, les ingénieurs VW ont ajouté une commande de soupapes semi-variable au moteur FSI servant de base de recherche.
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