Novo A4 - Parece que não é tão bom como o anterior -
On a démonté votre A4
Commercialisée à la toute fin 2007, l'Audi A4 troisième génération vient d’être démontée en totalité. Révélations sur les secrets de fabrication d’une des stars du segment des familiales.
Au premier coup d’œil, on peut d’ores et déjà noter un léger recul de l'A4 par rapport à sa devancière, au niveau des jeux et affleurements des diverses pièces de carrosserie notamment. De surcroît, il n'y a dorénavant plus de joints entre les ailes, les portes et le capot. Regrettable. L’affleurement entre le capot et le phare n’est pas précis non plus, ni celui de l’enjoliveur de custode arrière. Enfin, le nœud technique que constitue la jonction capot/aile/porte avant/montant de pare-brise s'avère décevant ! Sur le pont, l’Audi A4 révèle des dessous de caisse typiquement germaniques, avec beaucoup de mousse dans les corps creux et la présence de protections à triple fonction : acoustique, antigravillonnage-anticorrosion et aérodynamique.
Sous le moteur, la partie avant bénéficie, elle, d’un carénage spécifique en plastique gaufré. A l’arrière, en revanche, les protections n’ont qu’un rôle aérodynamique, recréant un fond plat pour limiter les turbulences. Au final, l’ensemble bien réalisé se révèle cependant un peu moins abouti que celui de sa rivale, la Mercedes Classe C. Par rapport à sa devancière, l’Audi A4 n’évolue pas non plus au chapitre des vitrages : l'épaisseur de ses vitres demeure toujours aussi chétive et bien inférieure à celles de la Ford Mondeo, par exemple. A l’ouverture des portes, l’A4 accueille ses occupants avec un magnifique seuil de porte en aluminium poli.
La planche de bord bénéficie de jolis matériaux et d’accostages précis. Mais on peut être surpris par certains détails : un mécanisme de glissière de siège visible, une poignée d’ouverture de capot très cheap, et le contour de compteurs aluminium non affleurant. En revanche, au démontage, le large écran multifonction révèle, dans son dos, la présence d’une mousse spécialement pulvérisée pour supprimer les bruits parasites. Un bon point. La qualité des sièges en tissu reste en deçà des attentes de la clientèle Premium. D’ailleurs, leur assise est composée simplement d’une mousse et d’une housse avec, entre les deux, un film textile ultramince pour éviter l’usure par frottement. Une conception finalement standard et plutôt basique pour ce niveau de gamme. Même la Kia Cee’d fait mieux en la matière !
La conception des panneaux de porte est, elle aussi, simplifiée par rapport au modèle précédent. La qualité perçue de l'ensemble ne fait dorénavant plus référence. A l'instar de la finition de ses baguettes décoratives, trompeuse : on dirait du plastique mal imité, alors qu’Audi utilise bel et bien de l'aluminium ! En revanche, l'ensemble du panneau est fixé sur la porte par des agrafes de très bonne facture, à double rattrapage de jeux. Sécurisant. Enfin, au sol, la qualité de la moquette s'avère bonne, avec un aspect côtelé, mais son épaisseur reste toutefois modeste.
Même si l’A4 demeure l’une des familiales les mieux construites du marché, sa qualité de fabrication n’est donc plus aussi impériale que par le passé. Rien de rédhibitoire cependant, juste une somme de petits détails trahissant certains soucis d’économies, au niveau de la qualité de finition intérieure notamment. Au final, la Mercedes Classe C se révèle plus sérieusement conçue et construite.
Fiat 500
Actualité :La Fiat 500 mise à nu
Caprices pardonnés
Entièrement mise à nu, la Fiat 500 révèle des petits défauts de conception et de fabrication. Pourtant, la qualité globale reste satisfaisante, bien loin de nuire au charme d'une citadine si populaire.
Passat
:La Volkswagen Passat mise à nu
Vrai haut de gamme
Expertisée jusqu'aux derniers détails de conception et de fabrication, la Volkswagen Passat récolte une très bonne critique. A quelques exceptions prés, les principaux critères de qualités sont pleinement honorés par la berline allemande. ~
Fiat punto
La Fiat Grande Punto mise à nu
En progression continue
Malgré quelques petits reproches, cette italienne révèle une bonne surprise. Si elle reste encore perfectible, la qualité de conception de la Grande Punto est globalement satisfaisante.
Golf...
La Volkswagen Golf V mise à nu
Conception sérieuse, sans plus
Les techniciens de la société Mavel ont analysé une Golf de fond en comble. Il en ressort une bonne qualité de fabrication générale, mais rien d'exceptionnel pour autant.
Série 1...
La BMW Série 1 mise à nu
Des lacunes de finition
Etre une référence en matière de fiabilité ne garantit pas une fabrication irréprochable : voici l'un des enseignements que nous transmet la société Mavel, qui a entièrement démonté et ausculté la BMW Série 1
207...
La Peugeot 207 mise à nu
Finition hétérogène
La petite Lionne n'est pas irréprochable en termes de qualité. Démontée et auscultée par la société Mavel, elle se montre globalement bien assemblée, mais néglige trop certains aspects.
http://www.automobile-magazine.fr/le...res_mises_a_nu
On a démonté votre A4
Commercialisée à la toute fin 2007, l'Audi A4 troisième génération vient d’être démontée en totalité. Révélations sur les secrets de fabrication d’une des stars du segment des familiales.
Au premier coup d’œil, on peut d’ores et déjà noter un léger recul de l'A4 par rapport à sa devancière, au niveau des jeux et affleurements des diverses pièces de carrosserie notamment. De surcroît, il n'y a dorénavant plus de joints entre les ailes, les portes et le capot. Regrettable. L’affleurement entre le capot et le phare n’est pas précis non plus, ni celui de l’enjoliveur de custode arrière. Enfin, le nœud technique que constitue la jonction capot/aile/porte avant/montant de pare-brise s'avère décevant ! Sur le pont, l’Audi A4 révèle des dessous de caisse typiquement germaniques, avec beaucoup de mousse dans les corps creux et la présence de protections à triple fonction : acoustique, antigravillonnage-anticorrosion et aérodynamique.
Sous le moteur, la partie avant bénéficie, elle, d’un carénage spécifique en plastique gaufré. A l’arrière, en revanche, les protections n’ont qu’un rôle aérodynamique, recréant un fond plat pour limiter les turbulences. Au final, l’ensemble bien réalisé se révèle cependant un peu moins abouti que celui de sa rivale, la Mercedes Classe C. Par rapport à sa devancière, l’Audi A4 n’évolue pas non plus au chapitre des vitrages : l'épaisseur de ses vitres demeure toujours aussi chétive et bien inférieure à celles de la Ford Mondeo, par exemple. A l’ouverture des portes, l’A4 accueille ses occupants avec un magnifique seuil de porte en aluminium poli.
La planche de bord bénéficie de jolis matériaux et d’accostages précis. Mais on peut être surpris par certains détails : un mécanisme de glissière de siège visible, une poignée d’ouverture de capot très cheap, et le contour de compteurs aluminium non affleurant. En revanche, au démontage, le large écran multifonction révèle, dans son dos, la présence d’une mousse spécialement pulvérisée pour supprimer les bruits parasites. Un bon point. La qualité des sièges en tissu reste en deçà des attentes de la clientèle Premium. D’ailleurs, leur assise est composée simplement d’une mousse et d’une housse avec, entre les deux, un film textile ultramince pour éviter l’usure par frottement. Une conception finalement standard et plutôt basique pour ce niveau de gamme. Même la Kia Cee’d fait mieux en la matière !
La conception des panneaux de porte est, elle aussi, simplifiée par rapport au modèle précédent. La qualité perçue de l'ensemble ne fait dorénavant plus référence. A l'instar de la finition de ses baguettes décoratives, trompeuse : on dirait du plastique mal imité, alors qu’Audi utilise bel et bien de l'aluminium ! En revanche, l'ensemble du panneau est fixé sur la porte par des agrafes de très bonne facture, à double rattrapage de jeux. Sécurisant. Enfin, au sol, la qualité de la moquette s'avère bonne, avec un aspect côtelé, mais son épaisseur reste toutefois modeste.
Même si l’A4 demeure l’une des familiales les mieux construites du marché, sa qualité de fabrication n’est donc plus aussi impériale que par le passé. Rien de rédhibitoire cependant, juste une somme de petits détails trahissant certains soucis d’économies, au niveau de la qualité de finition intérieure notamment. Au final, la Mercedes Classe C se révèle plus sérieusement conçue et construite.
Fiat 500
Actualité :La Fiat 500 mise à nu
Caprices pardonnés
Entièrement mise à nu, la Fiat 500 révèle des petits défauts de conception et de fabrication. Pourtant, la qualité globale reste satisfaisante, bien loin de nuire au charme d'une citadine si populaire.
Passat
:La Volkswagen Passat mise à nu
Vrai haut de gamme
Expertisée jusqu'aux derniers détails de conception et de fabrication, la Volkswagen Passat récolte une très bonne critique. A quelques exceptions prés, les principaux critères de qualités sont pleinement honorés par la berline allemande. ~
Fiat punto
La Fiat Grande Punto mise à nu
En progression continue
Malgré quelques petits reproches, cette italienne révèle une bonne surprise. Si elle reste encore perfectible, la qualité de conception de la Grande Punto est globalement satisfaisante.
Golf...
La Volkswagen Golf V mise à nu
Conception sérieuse, sans plus
Les techniciens de la société Mavel ont analysé une Golf de fond en comble. Il en ressort une bonne qualité de fabrication générale, mais rien d'exceptionnel pour autant.
Série 1...
La BMW Série 1 mise à nu
Des lacunes de finition
Etre une référence en matière de fiabilité ne garantit pas une fabrication irréprochable : voici l'un des enseignements que nous transmet la société Mavel, qui a entièrement démonté et ausculté la BMW Série 1
207...
La Peugeot 207 mise à nu
Finition hétérogène
La petite Lionne n'est pas irréprochable en termes de qualité. Démontée et auscultée par la société Mavel, elle se montre globalement bien assemblée, mais néglige trop certains aspects.
http://www.automobile-magazine.fr/le...res_mises_a_nu
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